24/07/2016
Couper des liens d'attachement
Pas toujours facile de couper des liens d'attachement tout en conservant de l'amour ou de l'amitié.
C'est ce que propose le site Philosophine dans lequel vous trouverez deux exercices pour couper les liens d’attachement conscients ou non qui nous relient aux autres. Ces deux méthodes vont vous permettre de couper les liens toxiques entre vous et l’autre personne tout en conservant les liens d’amour. Il est bon de les appliquer régulièrement ou dès que le besoin se fait ressentir.
Il n’est pas rare de ressentir immédiatement les bienfaits ou de constater des changements dans les jours suivants comme la résolution d’un problème, une sensation de paix, des nouvelles inattendues d’une personne. Cependant, il arrive parfois qu’il fallut plus de temps et persister dans la pratique avant d’obtenir des résultants selon l’intensité du lien qui vous relie vous et la situation problématique.
Une fois ces techniques faites, il est bon de lâcher prise, de laisser faire les choses. De remettre les soucis ou la relation en question entre les mains de l’univers.
Cliquez ci-dessous :
http://www.philosophine.fr/couper-les-liens-dattachement/
bonne expérience
19:43 Publié dans Blog à consulter, Développement, Famille | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : attachement, lein, cordes
19/03/2016
Créez une meilleure vie
AVOIR LE COURAGE DE VIVRE LA VIE QUE NOUS VOULONS VRAIMENT,
PAS CELLE QUE LES AUTRES ATTENDENT DE NOUS…
Si vous ne connaissez pas Jean-Jacques Crèvecœur, c'est le moment de découvrir ses travaux.
" Lorsque l’heure de la mort a sonné, seules les questions existentielles ont encore une raison d’être. Tout le reste, tout ce pour quoi nous avons consacré la majeure partie de notre vie, semble tout à coup bien futile…
Pendant de nombreuses années, l’infirmière australienne Bronnie Ware accompagna les personnes en fin de vie. Elle leur posa invariablement la même question : « Que regrettez-vous le plus, maintenant que votre vie s’achève ? » Parmi les réponses recueillies, la plus fréquente était : « J’aurais voulu avoir le courage de vivre une vraie vie pour moi-même, et pas celle que les autres attendaient de moi… »
C’est en janvier 1983 que j’ai commencé à emprunter ce chemin moins fréquenté. Je n’avais pas encore 22 ans. J’étais jeune, mais déjà au fond de moi, je savais que je ne voulais pas d’une vie où l’on me montrerait l’autoroute que je devrais emprunter. À l’époque, je ne savais pas encore très bien comment m’y prendre. Mais je désirais ardemment répondre à cette question : « Quel est le sens de ma vie sur cette Terre ? Comment puis-je répondre aux aspirations de mon âme ? Comment ne pas vivre ma vie par procuration ? » Depuis ce moment, j’ai expérimenté de nombreuses pistes, exploré de multiples voies, testé des processus hors des sentiers battus… Je me suis souvent trompé, je me suis fait mal parfois, j’ai blessé mes proches maintes fois… Mais j’ai grandi. Et aujourd’hui, je me sens plus vivant, plus conscient, plus fluide qu’il y a trente ans !"
Lisez la suite, vous ne serez pas déçu
- des articles
- des conseils
- des vidéos
Pour reprendre sa santé et sa vie en main
http://creer-une-meilleure-vie.com
Bien à vous
18:15 Publié dans Développement, Site à consulter | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : santé, meilleur vie, développement
N'oubliez jamais
N'oubliez jamais les jours nuageux.
Mais souvenez vous aussi des journées
ensoleillées, des nuits de pleine lune
et des ciels étoilés.
N'oubliez pas les moments dans
lesquels vous avez été battu. Mais
souvenez-vous aussi des batailles
remportées.
Oubliez les erreurs passées surtout
quand vous ne pouvez plus rien y
changer. Mais souvenez-vous des leçons
apprises et des expériences tirées de
vos échecs.
Oubliez les jours de tristesse et
d'abattement, mais souvenez-vous de vos
propres sourires et de ceux que l'on
vous a donnés.
Oubliez les objectifs manqués, les
plans qui ont raté, les débuts
prometteurs qui sont restés sans suite.
Mais surtout, continuez de rêver !
_______________________________
Nous sommes souvent nos pires juges.
Et, chose grave, des juges qui ont
tendance à perdre la mémoire, la vue,
et à ne considérer qu'une partie du
dossier...
Pour soigner cette amnésie négative
et rétablir la justice, il faut faire
peser dans la balance nos qualités, nos
succès, nos bons moments.
Vous voulez être impartiaux avec
vous-mêmes ? Très bien. Alors commencez
par vous remémorer vos réussites.
"Il est effrayant de penser que cette
chose qu'on a en soi, le jugement,
n'est pas la justice. Le jugement,
c'est le relatif. La justice, c'est
l'absolu. Réfléchissez à la différence
entre un juge et juste."
Victor Hugo
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©2015 Club Positif de Christian Godefroy
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18:06 Publié dans Développement | Lien permanent | Commentaires (0)
26/12/2015
Le Guetteur
Abilly, village du sud de la Touraine
2025
-25 °
La lumière blafarde du jour qui se lève peine à traverser les vitres givrées. Le poêle que je viens de ranimer à l’aide de quelques bûches, réchauffe lentement la pièce. Au dehors tout est silencieux et si quelque être humain venait à s’approcher, je ne manquerais pas d’entendre ses pas faire craquer la neige. Qui viendrait ? Un sous homme, mutant survivant de la catastrophe ? Ils ne s’approchent plus des habitations de ceux qui contrôlent encore les machines, le feu et l’électricité et ce qui reste de la médecine. La foudre des armes s’abat sur eux sans pitié. On ne peut plus les sauver et leur contact physique nous détruirait. La maladie est affreuse. D’ailleurs mes armes sont à portée de main. J’ai toujours un couteau à la ceinture.
Un compagnon des Krav commandos lancerait d’abord un signal connu du réseau.
Dans la zone interdite, cette maison est tout ce qui reste de mon passé. Cette époque encore vivable, même avec la crise. Les grandes villes ne sont plus que ruines; surtout les banlieues. Seuls les villages et les petites villes ont été épargnés car les habitants ont fui sans se battre. Nous avons réussi à protéger plusieurs sites en y laissant certains d’entre-nous dont la tâche est de surveiller et d’entretenir tout ce que nous avons pu sauver de l’ancienne civilisation : Bibliothèques entières, médicaments, essence, matériel de mécanique, d’électricité et d’électronique, vaisselle, outillage, générateurs, éoliennes, véhicules de toutes sortes, armes et même des cliniques et un hôpital.
Alors, je viens ici quand j’ai besoin d’être seul pour prendre des décisions. Je me sens bien. J'ai de quoi chauffer. Et puis, il faut bien passer rendre visite à ceux qui sont restés, les Guetteurs de la région. Le puit fournit toujours de l’eau potable et j’ai aménagé une pompe à main qui fonctionne de l’intérieur. Une petite éolienne me fournit l‘électricité pour l’éclairage et la radio qui permet le contact. Autant dire que le téléphone a cessé de fonctionner assez rapidement avec la catastrophe. Au moins, il a été relativement facile de monter quelques antennes ou d’utiliser les antennes de l’ancienne Gendarmerie pour relancer un réseau de communication par la radio.
Je suis devenu un compagnon des Krav commando, un nomade. Ma base est dans le massif central. C’est là que nous avons pu monter le centre principal de la résistance, regrouper le maximum de matériel, d’hommes et de femmes valides. Tous travaillent à reconstituer et sauvegarder ce qui vient du passé et qui mérite de l’être. Je me déplace en Buggy. Un petit véhicule léger qui permet de s’échapper en tout terrain en cas de besoin ; de plus, c’est silencieux et ça consomme peu d’essence. Je ne peux pas emmener beaucoup de matériel, mais je connais bien les caches aménagées par les compagnons sur tout le territoire. La région contrôlée correspond à tout le grand ouest, elle englobe le centre jusqu’à Nevers et descend jusqu’en Lozère.
10:45 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0)
08/08/2015
L'éléphant qui perdit son oeil
L'éléphant se trouvait au bord d'un ruisseau.
L'eau coulait, claire et transparente.
Il eut envie de boire.
Il se pencha au-dessus de l'eau, trempa sa trompe et... plouf !
"Quoi ! Que ?... mais qu'est-ce que... AAAaaaarrrrggggghh j'ai
perdu mon oeil !" s'écria l'éléphant au comble de la panique.
Effectivement, son oeil droit s'était détaché de son orbite et
était tombé au fond du ruisseau.
Le mastodonte chercha à retrouver son précieux globe.
Il ne vit rien. Très inquiet, il agita sa trompe dans tous les
sens, cherchant à saisir son oeil dans le lit du ruisseau.
Il remua tant et si bien que l'eau devint trouble. Plus il
agitait sa trompe et plus le sable remontait, compromettant ses
chances de retrouver une vue complète.
Soudain, l'éléphant entendit rire à gorge déployée.
Furieux, il releva la tête et vit, sur un rocher au bord de
l'eau, une petite grenouille verte. Elle riait, elle riait...,
la bouche grande ouverte :
- coaAH ! coAH ! coAH ! coAH !...
- Tu trouves ça drôle. J'ai perdu mon oeil et ça te fait rire ?!
- Ce qui est drôle, c'est de voir à quel point tu t'agites.
Calme-toi, tout ira mieux !
L'éléphant, un peu honteux, suivit le conseil de la
grenouille. Il se calma et cessa d'agiter sa trompe.
L'eau redevint calme, peu à peu le sable retomba.
Tout au fond du ruisseau, l'éléphant vit son oeil, intacte.
Il le saisit avec sa trompe, le remit dans son orbite, à sa place.
Sans oublier de remercier la grenouille verte.
(c)2005 www.club-positif.com
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Ce petit conte apparemment simpliste renferme une grande sagesse.
L'éléphant perd un oeil et ce n'est pas anodin : cette cécité
soudaine, cette eau troublée, cette agitation, ce désespoir,
c'est ce qui nous arrive lorsque nous perdons pied et que notre
précipitation nous rend aveugles.
Nous sommes momentanément incapables d'intérpréter avec
lucidité ce qui nous entoure. Pour éviter cette désorientation,
il existe une solution : attendre que la situation
s'éclaire, que les nuages noirs se dissipent.
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"La précipitation vient du Diable ; Dieu travaille lentement."
Proverbe persan
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©2015 Club Positif de Christian Godefroy
http://cpositif.com
11:17 Publié dans Développement | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : développement
20/06/2015
René Guénon pour ne pas se décourager
Ceux qui seraient tentés de céder au découragement doivent penser que rien de ce qui est accompli dans cet ordre ne peut jamais être perdu, que le désordre, l’erreur et l’obscurité ne peuvent l’emporter qu’en apparence et d’une façon toute momentanée, que tous les déséquilibres partiels et transitoires doivent nécessairement concourir au grand équilibre total, et que rien ne saurait prévaloir finalement contre la puissance de la vérité ; leur devise doit être celle qu’avaient adoptée autrefois certaines organisations initiatiques de l’Occident : Vincit omnia Veritas.
René Guénon, La crise du monde moderne, 1946
08:06 Publié dans Impertinences, Survie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : crise, découragement
21/02/2015
L'intuition
Histoire d'Intuition
Savoir quelque chose juste avant que cela n’arrive… Non, ce n’est pas de la science fiction, mais un phénomène intuitif commun appelé pressentiment. Les neuroscientifiques lui ont consacré de nombreuses études, et ont prouvé non seulement son existence, mais aussi que celui-ci transite par le corps.
19:47 Publié dans Développement, Site à consulter | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : intuitions, synchronicité
17/02/2015
Extrait du Meilleur des mondes d’Aldous Huxley (1932).
On s'approche de la réalité !
18:48 Publié dans Impertinences, Livre | Lien permanent | Commentaires (0)
14/08/2014
Le petit arbre
forêt un petit arbre couvert de
feuilles aiguës. « Ah ! disait-il
un jour, mes voisins sont
heureux. Ils ont des feuilles
qu'on se plait à voir. Les
miennes sont comme des aiguilles.
Personne n'ose m'approcher. Je
voudrais être plus favorisé
encore que mes voisins. Je
voudrais avoir... des feuilles d'or. »
La nuit vient ; le petit arbre
s'assoupit, et le lendemain matin
il est transformé. « Quel
bonheur, s'écrie-t-il, me voilà
couvert d'or ! Pas un autre arbre
de la forêt n'a un vêtement
pareil. »
Mais à l'approche de la nuit
arrive un vieux, avec de longues
mains sèches, une grande barbe et
un grand sac. Il jette autour de
lui un regard craintif, et voyant
que personne ne l'observe,
détache les feuilles d'or, les
met dans son sac et s'enfuit.
« Ah ! dit le petit arbre, je
regrette ces belles feuilles qui
reluisaient au soleil. Mais des
feuilles de verre pourraient être
aussi brillantes. Je voudrais
avoir des feuilles de verre. »
Le soir, il s'endort, et le
lendemain matin il est de nouveau
transformé. A tous ses rameaux se
balancent des feuilles de verre.
« Ah ! dit-il, voilà une jolie
parure. Mes voisins n'en ont pas
une pareille. »
Mais des nuages noirs
s'amassent dans le ciel, le vent
se lève, l'orage éclate, et
toutes les feuilles de verre sont
brisées.
« Hélas ! murmure en soupirant
le vaniteux petit arbre, il est
bien élégant ce feuillage que
j'ambitionnais, mais bien
fragile. Mieux vaudrait un
vêtement de bonnes feuilles
vertes parfumées. »
Le soir, le petit arbre
s'endort, et le lendemain matin
il est vêtu comme il l'a désiré.
Mais l'odeur de ces feuilles
fraîches attire les chèvres, qui
viennent les ronger, et, en se
dressant sur leurs pattes
arrière, elles rongent jusqu'à la
cime du petit arbre, et le
laissent entièrement nu.
Alors il reconnut la folie de
ses orgueilleux désirs. Il
regrette, en s'endormant le soir,
ses premières feuilles, et le
lendemain matin se réjouit de les
voir reparaître sur ses rameaux.
Elles n'ont point l'éclat de
l'or, ni la lumineuse
transparence du verre, ni
l'attraction des plantes
aromatiques ; mais elles sont
solides, on ne viendra pas les
lui prendre et il les gardera en
toute saison.
On veut souvent ce qu'on n'a pas.
Ce que possèdent les autres
déclenche chez nous l'envie
et le manque.
Mais nous pouvons nous
concentrer sur nos forces au
lieu de nos faiblesses, sur
ce que nous avons au lieu de
ce qui nous manque.
C'est un des secrets du bonheur.
D'après un texte de Xavier Marmier
(c) Club Positif
Reproduction autorisée sans aucune modification
du texte avec mention de l'origine :
www.cpositif.com
.
©2014 Club Positif de Christian Godefroy
http://www.cpositif.com
16:09 Publié dans Développement | Lien permanent | Commentaires (0)
12/08/2014
Esprit intégratif
Je vous livre ici le lien vers un site réunissant des informations sur la pensée intégrative, les penseurs et les artistes qui s'y rattachent.
http://www.psychotherapie-integrative.com/
L'esprit intégratif cherche à unifier le réel dans sa diversité
L'esprit intégratif cherche à relier, à harmoniser, à unifier le réel dans sa diversité, dans sa complexité.
Il est surtout actif dans le domaine de la connaissance, où il tente de mettre des liens entre les différents champs de la connaissance, divisés, séparés et cloisonnés par l'esprit scientifique classique, donnant lieu à des spécialisations de plus en plus nombreuses. En particulier, il travaille à la réunification des savoirs qui s'occupent de la matière, du corps, de la réalité sensible objective avec les savoirs qui s'occupent du psychisme, de l'esprit et de la réalité subjective.
S'il y a une métaphore qui convient bien à l'esprit intégratif, c'est celle du pont ou de la passerelle.
Les penseurs du désastre ou de la désintégration possible de ce monde, sont de plus en plus nombreux
Jean-Pierre Dupuy dans son livre « Pour un catatrophisme éclairé » annonce la catastrophe globale prochaine.
« Le temps est venu de mener une réflexion sur le destin apocalytique de l'humanité : avec le siècle qui s'achève, nous avons en effet acquis la certitude que l'humanité était capable de s'anéantir elle-même, soit directement par l'utilisation des armes de destruction massive, soit indirectement par l'altération des conditions nécessaires à la survie (...) Face à cette situation inédite, la théorie du risque ne suffit plus : il nous faut apprendre à affronter la catastrophe, à ne plus l'imaginer dans un futur impropable mais à la penser au présent. Et pourtant nous refusons de croire à la réalité du danger, même si nous en constatons tous les jours la présence. C'est au caractère inéluctable de la catastrophe et non à sa simple possibilité que nous devons désormais nous confronter. »
17:02 Publié dans Développement, Site à consulter, Survie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : esprit, intégratif, psychologie