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19/03/2016

Créez une meilleure vie

AVOIR LE COURAGE DE VIVRE LA VIE QUE NOUS VOULONS VRAIMENT,

PAS CELLE QUE LES AUTRES ATTENDENT DE NOUS…

Si vous ne connaissez pas Jean-Jacques Crèvecœur, c'est le moment de découvrir ses travaux.

" Lorsque l’heure de la mort a sonné, seules les questions existentielles ont encore une raison d’être. Tout le reste, tout ce pour quoi nous avons consacré la majeure partie de notre vie, semble tout à coup bien futile…
Pendant de nombreuses années, l’infirmière australienne Bronnie Ware accompagna les personnes en fin de vie. Elle leur posa invariablement la même question : « Que regrettez-vous le plus, maintenant que votre vie s’achève ? » Parmi les réponses recueillies, la plus fréquente était : « J’aurais voulu avoir le courage de vivre une vraie vie pour moi-même, et pas celle que les autres attendaient de moi… »
C’est en janvier 1983 que j’ai commencé à emprunter ce chemin moins fréquenté. Je n’avais pas encore 22 ans. J’étais jeune, mais déjà au fond de moi, je savais que je ne voulais pas d’une vie où l’on me montrerait l’autoroute que je devrais emprunter. À l’époque, je ne savais pas encore très bien comment m’y prendre. Mais je désirais ardemment répondre à cette question : « Quel est le sens de ma vie sur cette Terre ? Comment puis-je répondre aux aspirations de mon âme ? Comment ne pas vivre ma vie par procuration ? » Depuis ce moment, j’ai expérimenté de nombreuses pistes, exploré de multiples voies, testé des processus hors des sentiers battus… Je me suis souvent trompé, je me suis fait mal parfois, j’ai blessé mes proches maintes fois… Mais j’ai grandi. Et aujourd’hui, je me sens plus vivant, plus conscient, plus fluide qu’il y a trente ans !"

Lisez la suite, vous ne serez pas déçu

  • des articles
  • des conseils
  • des vidéos

Pour reprendre sa santé et sa vie en main

http://creer-une-meilleure-vie.com

 

Bien à vous

 

 

 

 

08/08/2015

L'éléphant qui perdit son oeil

L'éléphant se trouvait au bord d'un ruisseau.


  L'eau coulait, claire et transparente.
  Il eut envie de boire.
  Il se pencha au-dessus de l'eau, trempa sa trompe et... plouf !
  "Quoi ! Que ?... mais qu'est-ce que... AAAaaaarrrrggggghh j'ai
  perdu mon oeil !" s'écria l'éléphant au comble de la panique.
  Effectivement, son oeil droit s'était détaché de son orbite et
  était tombé au fond du ruisseau.
 
      Le mastodonte chercha à retrouver son précieux globe.
  Il ne vit rien. Très inquiet, il agita sa trompe dans tous les
  sens, cherchant à saisir son oeil dans le lit du ruisseau.
  Il remua tant et si bien que l'eau devint trouble. Plus il
  agitait sa trompe et plus le sable remontait, compromettant ses
  chances de retrouver une vue complète.
 
      Soudain, l'éléphant entendit rire à gorge déployée.
  Furieux, il releva la tête et vit, sur un rocher au bord de
  l'eau, une petite grenouille verte. Elle riait, elle riait...,
  la bouche grande ouverte :
  - coaAH ! coAH ! coAH ! coAH !...
  - Tu trouves ça drôle. J'ai perdu mon oeil et ça te fait rire ?!
  - Ce qui est drôle, c'est de voir à quel point tu t'agites.
  Calme-toi, tout ira mieux !
 
      L'éléphant, un peu honteux, suivit le conseil de la
  grenouille. Il se calma et cessa d'agiter sa trompe.
  L'eau redevint calme, peu à peu le sable retomba.
  Tout au fond du ruisseau, l'éléphant vit son oeil, intacte.
  Il le saisit avec sa trompe, le remit dans son orbite, à sa place.
  Sans oublier de remercier la grenouille verte.
 
  (c)2005 www.club-positif.com
 
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     Ce petit conte apparemment simpliste renferme une grande sagesse.
  L'éléphant perd un oeil et ce n'est pas anodin : cette cécité
  soudaine, cette eau troublée, cette agitation, ce désespoir,
  c'est ce qui nous arrive lorsque nous perdons pied et que notre
  précipitation nous rend aveugles.
 
      Nous sommes momentanément incapables d'intérpréter avec
  lucidité ce qui nous entoure. Pour éviter cette désorientation,
  il existe une solution : attendre que la situation
  s'éclaire, que les nuages noirs se dissipent.

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  "La précipitation vient du Diable ; Dieu travaille lentement."
  Proverbe persan

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©2015 Club Positif de Christian Godefroy
http://cpositif.com

29/06/2014

Allez voir

Il était une fois une petite fille qui
vivait dans une maison sur les
contreforts d'une vallée.

à chaque fois qu'elle sortait de chez
elle, cette petite fille regardait une
maison de l'autre côté de la vallée.
Que cette maison était belle, et son
jardin aussi. Ses volets verts
dessinaient un visage et sa petite
cheminée lui donnait un air adorable.
C'était la maison dans laquelle elle
rêvait de vivre.

Un jour elle n'y tint plus. Elle
profita que ses parents lui avaient
confié la tâche d'aller acheter du pain
dans le fonds la vallée et poussa un
peu plus loin...

Elle continua son chemin et traversa la
vallée pour aller vers la si jolie
maison, la voir de plus près

Elle arriva à la maison et dût
traverser un jardin rempli de ronces et
d'orties. Ah non, le jardin n'était pas
si bien ! Puis après avoir évité des
embûches, elle arriva près d'un t'as de
briques.

Elle leva les yeux et vit que la petite
cheminée était petite car elle était
tombée. Et les volets ! La peinture
était écaillée. Les vitres étaient
sales.

Heureusement que cette maison avait une
jolie vue sur l'autre côté de la
vallée.

Elle regarda cette belle maison de
l'autre côté de la vallée, oui celle
là, si jolie et si mignonne.

Il lui fallut quelques secondes pour
réaliser que la plus belle maison de la
vallée, c'était en fait la sienne !

------

Oui l'herbe est toujours plus verte
dans le pré d'à côté, tant qu'on n'y
est pas. Vous êtes vous pris à rêver de
choses que vous voyiez, sans vous
demander si ce que vous aviez déjà
n'était pas mieux ?

Dans cette histoire, c'est encore
l'idée que l'on se fait d'une chose, la
programmation qu'elle se fait elle même
qui trompe la petite fille. Elle a la
chance de se rendre compte de son
erreur. Mais combien de nous ne se
rendent compte de leur erreur que trop
tard ?


Combien de nous aussi ne se montrent pas
assez intéressés pour parcourir leur monde
et se rendre compte de choses évidentes,
pourvu qu'on les regarde sous un autre
angle?

La curiosité, l'intérêt sont des forces
vitales qui nous permettent de sortir
de nous même et de nous développer.



“La seule source du savoir est
l'expérience”

Albert Einstein
 
 
 

10/03/2014

Le test des 3 passoires

Socrate avait, dans la Grèce antique, une haute opinion de la sagesse. Quelqu'un vient un jour trouver le grand philosophe et lui dit : 
  
    "Sais-tu ce que je viens d'apprendre sur ton ami? 
  
    - Un instant, répondit Socrate. Avant que tu me racontes, j'aimerais te faire passer un test, celui des 3 passoires : 
  
    - Les 3 passoires? 
  
    - Mais oui, reprit Socrate. Avant de me raconter toutes sortes de choses de choses sur les autres, il est bon de prendre le temps de filtrer ce que l'on aimerait dire. 
  
    - C'est ce que j'appelle le test des 3 passoires. La première passoire est celle de la vérité. As-tu vérifié si ce que tu veux me dire est vrai? 
  
    - Non. J'en ai simplement entendu parler... 
  
    - Très bien. Tu ne sais donc pas si c'est la vérité. 
  
    - Essayons de filtrer autrement en utilisant une deuxième passoire, celle de la bonté. Ce que tu veux m'apprendre sur mon ami, est-ce quelque chose de bon ? 
  
    - Ah non ! Au contraire. 
  
    - Donc, continua Socrate, tu veux me raconter de mauvaises choses sur lui et tu n'es même pas certain si elles sont vraies. Tu peux peut-être encore passer le test, car il reste une passoire, celle de l'utilité. Est-il utile que tu m'apprennes ce que mon ami aurait fait ? 
  
    - Non. Pas vraiment. 
  
    - Alors, conclut Socrate, si ce que tu as à me raconter 
  n'est ni vrai, ni bien, ni utile, pourquoi vouloir me le dire ?"
  
  ................................................................
  
  
    La valeur du temps
  
    Pour apprendre la valeur d'une année, demande à l'étudiant 
  qui a raté un examen.
  
    Pour apprendre la valeur d'un mois, demande à la mère qui a mis 
  un enfant au monde trop tôt.
  
    Pour apprendre la valeur d'une semaine, demande à l'éditeur 
  d'un journal hebdomadaire.
  
    Pour apprendre la valeur d'une heure, demande aux fiancés qui 
  attendent de se revoir.
  
    Pour apprendre la valeur d'une minute, demande à celui qui a raté
  son train, son bus ou son avion.
  
    Pour apprendre la valeur d'une seconde, demande à celui qui a 
  perdu quelqu'un dans un accident.
  
    Pour apprendre la valeur d'une milliseconde, demande à celui 
  qui a gagné une médaille d'argent aux Jeux Olympiques.
  
    Le temps n'attend personne. Rassemble chaque instant qu'il 
  te reste et il sera de grande valeur. Partage-les avec une personne 
  de choix et ils deviendront encore plus précieux.
  
  La source de ce poème est inconnue (traduction d'un extrait allemand).
  
  
    "L'amitié l'emporte sur les liens du sang en ce qu'il peut y avoir 
  parenté sans bienveillance et non point amitié.
    L'amitié n'est autre chose qu'un accord parfait de sentiments
  joint à une bienveillance et une tendresse mutuelles...
    Parmi les nombreux et solides avantages de l'amitié, le plus
  précieux, à mon avis, est de nous donner confiance en l'avenir, et
  de ne point laisser les esprits se décourager et s'abattre.
    Avoir un ami, c'est avoir un autre soi-même."
  Cicéron

 

©2014 Club Positif de Christian Godefroy
http://www.cpositif.com

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02/01/2014

Le meilleur des blogs de développement personnel

 

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Bonne lecture